17 commentaires sur « Libres ! »

  1. Ohhhhh! l Couli joli!! trop bucolique!!!!
    je file vite chanter avec des tout petits! c’est l’heure!! faut que je me lave les dents avant de partir!
    il y a une chanson « Chat-chat-chat »…. je la dédie à tes félins câlins!

    1. Youpeee !
      Ah si Couli pouvait se brosser les dents..Il a une haleine de cow boy décomposé, terriiiiible !

  2. Les souris et les oiseaux n’ont qu’à bien se tenir 🙂
    Enfin, il va découvrir de la vraie herbe à chat !

    J’envie ta monnaie du pape, je ne sais plus le nom savant qui doit être en latin !
    Je me souviens, en avril quand j’avais un jardin, des petites fleurs violettes et ensuite la surprise transparente, il faut que je trouve des graines !

    1. je suis étonnée de constater que les belles fleurs violettes que j’avais prises en photo d’ailleurs, dans les billet d’avril….sont de la monnaie….j’aime !!

  3. oui je les ai obligé à rentrer de temps en temps, comme des gosses, inconscients de leur épuisement….ils se répandent sur le carrelage et vont dormir KO pendant deux heures !!

    1. Ah non impossible !
      Dans la maison on nous étions il y a cinq ans, une Princesse de petite chatte est arrivée. Un bonheur…Mais TROIS chats et un boulot trop prenant et trop loin, à l’époque, c’était du 200% !!

  4. C’est leur première grande aventure dans un jardin? Ou ils avaient déjà connu ça avant ton IMMENSE balcon??
    T’as pas fini d’aller guetter la nuit parce que, si si t’es sûre tu les as entendu gratter, ou miauler, ou les deux!!
    J’adore les chats au jardin…sauf quand ils dégomment les oiseaux, mais c’est leur vie et leur taf, faut croire, alors pas facile d’aller contre.

    Bon je vais me shooter au parfum des troènes, bises

  5. Ils ont toujours vécu au dehors sauf ces dernières quatre années en appart.
    Pour le moment sorties accompagnées uniquement puis on rentre tous. Je ne laisse dehors que sous mon oeil. déjà ce matin y’en a un qui zieutait vers la cloture de la voisine, une mégère qui tondait ras les 10 m2 qu’elle s’est laissé ( elle a tout bétonné, quasi)…M’a obligé à dire bonjour et ça c’est la cata tu t’en sors plus avec elle….bla bla bla…D’ailleurs il a fui dès qu’elle s’est approchée et c’est moi qui était comme une c….
    Donc, là, tout le monde est raplapla sur les couvertures au frais dedans. Dehors grand chaud.

    Il faudra que je raconte une histoire nocturne en Thaïlande, chez nous…de la chatte mi sauvage qui avait fait ses chatons ….Finette elle se nommait, faudra que je raconte notre intervention nocturne sous pluies moussoniesque !

  6. Ah les chats, sujet intarissable pour les âmes poètes, et même en silence, leur silhouette seule suffit à réveiller nos mots les plus inspirés, dont ils se ri avec tant d’indulgence et de complaisance ! Couli joli, arrête de brouter, fais attention à la monnaie du pape, à la benoîte, au lierre terrestre, euh, pardon, je me suis trompée de blog, mais avec ta Laure passagère je ne sais jamais où je suis, c’est fantastique, c’est un voyage à l’infini ici et là, ailleurs et de nulle part, un peu comme moi ! Ce n’est donc pas « la forêt d’émeraude », mais « Into the Wild », ton nouvel univers ! Mais Laure, tu as raison, les premiers temps, c’est sortie sous étroite surveillance, ils sont trop malins ces coquins-là : dans une maison avec jardin, une fois, alors que tout était clôturé assez haut pour les empêcher de sortir, mon Zeb avait réussi à grimper dans le pommier, du pommier, il sautait sur les grosses branches de lierre en haut de la grille, et, de là, il sautait dans la rue, je l’avais ainsi trouvé dans la brume un soir, rêvassant sous un lampadaire à ce monde extérieur qu’il découvrait ! La peur de ma vie car nous habitions alors dans une rue assez passante à deux pas de la capitale. Ensuite, c’était trop rigolo, j’avais mis des clochettes japonaises dans le pommier pour me le signaler quand il tentait encore une évasion !

    1. Voilà une belle idée…pour l’instant mes clochettes sont sur la terrasse et il pleut ce qui me repose….et les chats découvrent que parfois la liberté ça mouillerait trop le dos, alors on reste dedans…

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